LONDRES (Reuters) - pour une modeste mise de 50 pence (0,66 euros) sur des courses hippiques.
Fred Craggs, originaire de Yorkshire, dans le nord de l'Angleterre, n'avait aucune idée du montant de ses gains lorsqu'il s'est rendu dans une agence de la société de paris William Hill pour savoir ce que son "pari cumulé" (qui consiste à placer les gains d'une course sur la suivante) lui avait rapporté.
Il avait en fait misé sur les chevaux gagnants de huit courses à travers le pays - le premier de la série s'appelant, cela ne s'invente pas, "Isn't That Lucky?" (N'est-ce pas un coup de chance ?) et le dernier "A Dream Come True" (Un Rêve Devenu Réalité) - donnés à deux millions contre un.
Lorsque Fred Craggs a appris que la chance lui avait souri, il est devenu très pâle et a marmonné qu'il ferait mieux de rentrer chez lui pour prévenir sa femme.
"C'est le pari le plus stupéfiant enregistrés depuis la légalisation des bookmakers en 1961", a déclaré lundi Graham Sharpe, porte-parole de William Hill.